Le secret, c’est l’amour. (Céline Alvarez)
Phrase à laquelle on y ajoute : sans amour, la vie n’a pas de sens.
Nous sommes persuadés que l’enfant est une personne à part entière, il doit être considéré en tant que tel, qui connaît aussi bien que nous, sinon au mieux, ce dont il a besoin.
On est conçu dans l’amour. La vie est fait pour s’émerveiller du monde entourant. Or, dès la grossesse, on est déjà dans la précipitation, on a dors et déjà des attentes envers le fœtus.
Nous ne sommes pas sur terre pour souffrir, mais de s’entraider, s’épauler en cas d’expression de besoin.
Quand on parle de l’enfant, on pense évidemment à son éducation. Qu’est ce qui s’avèrerait plus efficace que l’auto-éducation ? Le tutorat enfant- enfant ?
Un proverbe africain dit : Il faut tout un village pour élever un enfant.
Céline Alvarez explique: l’éducation c’est simplement ETRE avec et à côté de l’enfant. De partager son quotidien.
Isabelle Fililozat affirme que c’est « inutile d’imposer des normes aux enfants […] Car les enfants cherchent naturellement à se faire apprécier, à faire bien. Ils cherchent d’eux même à apprendre les codes de conduite. » Nous pensons comme elle, l’enfant imite, des parents polis ont des enfants polis. Fililozat précise : « Ils vont d’autant plus volontiers se montrer polis et bien se comporter que cela vient d’eux. Comme tout humain, ils ont besoin de se sentir libres et détestent les pressions ».[1]
Nous plongeons avec vous dans nos ateliers à la parentalité positive, la bienveillance, une révolution comment parler aux enfants différemment.
Cela ne veut pas dire que l’enfant est livré à lui-même, et nous ne cautionnons le laxisme. Toutefois, l’enfant a besoin de parents authentiques, quitte à sortir de son calme en cas de protection contre le danger.
Cependant, l’enfant, en aucun cas, n’est à la merci de l’adulte qui que se soit. L’obéissance peut se remplacer avec discussion de personne à personne. On peut poser les « limites » en exprimant ses besoins, ses ressentis. Cela sera bien le cadre pour l’enfant.
L’enfant n’est pas là pour nous embêter. Au contraire, lui, qui n’a rien demandé, se retrouve face aux innombrables attentes de son entourage. Il est là pour s’affirmer dans sa personnalité.
L’éducation, ou plutôt l’apprentissage classique, l’effet de « moule » : notes, mêmes tranches d’ages, cantine, garderie, et tous les inconvénients que cela risque d’engendrer, discrimination, humiliation, « police », sanctions, isolements, punitions.
Nous ne pouvons pas accepter de dire « J’ai fait cela –- et je n’en suis pas mort(e) » ! Ce n’est pas parce que 55% des élèves et enfants réussissent à l’école que l’on doit oublier les 45% autres, qui se trouve à la périphérie de la société, risquent la phobie scolaire, la boulimie, ou l’anorexie, prennent des anxiolytiques, deviennent dépressifs, auront des « burn out » etc. La liste de mal-être psychique est longue.
Pire encore, lors ce qu’on demande aux enfants leurs ressentis vis-a-vis de l’école, y a-t-il 10%-20% d’eux qui ont des opinions positifs et le restant de pourcentage, négatif. (Combien d’élèves par classe de 30, 3-4?) C’est assez mince pour une école dites libre, pour tous, de l’égalité des chances que sais-je. Pourquoi est-il « normal » de « ne pas aimer aller à l’école » en France ? Avis qui s’empire d’une génération à l’autre.
En outre, que deviennent « les premiers de la classe » ? Des directeurs solitaires? Sauront-ils sauver le monde ? Où seront-ils les futurs chefs d’entreprises et des industriels qui, à tout prix, – comme en classe à toujours vouloir être les premiers – feront de meilleurs chiffres d’affaires ? Fabriqueront plus de plastique, exploiteront plus de sources naturelles, de ressources humaines qui se traduisent jusqu’à l’esclavage moderne; aux millions d’enfants dans les mines, sans scrupules, verseront plus des déchets, produits chimique dans les eaux de notre terre… Voudront-ils participer à gagner le combat contre le réchauffement climatique ? Ou seront-ils plutôt des politiques soudés corrompus au service des financiers ? Et la boucle est bouclée.
C’est connu, en Occident la grande majorité des gens sont tous scolarisés. De plus, l’école traditionnelle est exportée partout dans le monde. Pourtant, est-ce que le monde va mieux ? Les choses s’empirent. Les collectivités locale, les écosystèmes ont perdu, au fur et a mesure, leurs autonomies, les savoirs caractéristiques indispensables pour la vie quotidienne aux quatre coins du monde. Les jeunes diplômés sont au bord des rues des grandes villes. Leur espoir d’avoir une meilleure vie que leur familles dans les villages, s’évapore.
En ce que la nature concerne, dans la cours des écoles bétonnées, est difficile sinon, impossible de la connaître. Et ce que l’on ne connait pas, on n’aime pas. Comment serait-il possible de protéger la nature si lointaine ? Comment apprécier le goût d’une tomate, de la pomme de terre, que sais-je que l’on n’a jamais fait ou vu pousser, grandir, au moins cueillir ?
Essayons de casser ce cercle vicieux. On a hérité cette planète paradisiaque, pourrions-nous en être responsables et en cherchant, trouver de quoi donner de nouveau, de bienveillant.
Vous pouvez lire sur la Théorie de la guerre.
L’école de demain c’est aujourd’hui !
La faute de l’orthographe : « brrhüsgë gd’ürrhghtücrrghigtph gd’igtbigtrrhigt »
Vou pouvez donner votre avis : Qu’est-ce que c’est l’amour ?
[1]Isabelle Fililozat, L’intélligence du coeur, Poche Marabout