Qui sommes nous ?

Professionnelle de l’éducation, jadis enseignante en langue hongroise pendant cinq ans (fonctionnaire au pays de l’Est).

Formation à la Méthode Kodály (Békéscsaba), chef de chœur, enseignement de la musique de 6 a 12 ans

Deux années d’études universitaires générales de psychologie Paris 5

Licence de Science de l’éducation Paris 5

Maitrise de professorat de FLE et inter-culturalité Paris La Sorbonne

Master Ingénierie linguistique et gestion de l’information Paris La Sorbonne

Au quotidien, maman de deux enfants. Quand on s’intéresse profondément à l’éducation, à un point où paradoxalement, l’on fini par avoir des doutes de la dite « éducation nationale ». Cette dernière ne serait en fait qu’une sorte d’apprentissage et enseignement national, dans les meilleurs des cas, sinon, une sorte de « demande des comptes », évaluations de ce qu’elle n’apporte pas, – rappelez-vous, ce que vous connaissez mieux, vous aviez appris seul et à vous seul – de tests et de mesures de ce que l’enfant  – ne sait pas ?
En effet, il faut tout un village pour élever un enfant. L’enfance ne doit pas être enfermée dans l’école. L’enfant, l’homme apprennent tout le temps où qu’ils soient. La vraie socialisation et la découverte du monde, ne peuvent se faire exclusivement avec ses paires de même âge; en face un seul adulte – souvent des femmes.

J’ai confiance en l’apprentissage autonome, en l’auto-éducation, l’imitation. Effectivement, dans les bonnes conditions, l’enfant apprend à marcher seul, à parler seul, à jouer seul. Le petit être humain est curieux naturellement et doté de pleins de talents. Il suffit de lui permettre de s’épanouir !

Ainsi, j’ai suivi pendant un an chacune, la préparation et l’ouverture de trois écoles alternatives autour de Montpellier, dites du troisième type ou de pédagogies différentes. (Il y a trois autres projets intra- et extramuros de la ville.) Hélas, je ne peux pas y inscrire mes enfants à cause de la distance géographique qui se trouve entre l’école et chez nous et l’impossibilité de payer les couts impliqués dans une scolarisation privée . De fait, l’école publique accessibles à tous car « gratuite », en réalité elle ne l’est point. Au ministère, on est toujours à veiller de combien et de ne pas trop, dépenser par élève par an. Effectivement, les postes des fonctionnaires sont bien payés par les impôts, taxes et cotisations des parents. Qui d’autre est mieux placé pour demander des exigences a l’Education Nationale?
Par ailleurs, je trouve cela totalement injuste de payer deux fois la scolarisation de son enfant, – ou d’y renoncer par manque de revenus conséquents, – par les impôts, – pour ceux qui sont concernés – et les frais nécessaires pour adhérer à un établissement privé; car hors contrat. En même temps, l’élitisme de l’éducation en France est évident, les enfants des élus et des politiques ne vont depuis long temps fréquenter les établissements publics.

Toutefois la vraie problématique n’est pas qu’une école soit privée ou publique. Dans les écoles publique existent des ‘fourmis’ courageuses qui rendent l’apprentissage agréable, volontaire et épanouissante. De fait, il ne suffit pas de travailler avec du matériel « montessori » avec malveillance.

C’est pourquoi, je milite pour que l’on puisse librement choisir entre école traditionnelle et alternative.

D’autre part, depuis huit ans, mon attention est tournée vers la grossesse, la naissance et la petite enfance « amis des bébés », en suivant des cours de yoga et de sophrologie pour femmes enceintes, chant prénatal, haptonomie foetus-mère-père, allaitement, atelier de parentalité positive, accouchement naturel. J’ai eu la chance de tomber sur une maternité qui depuis, avait gardé précieusement son Label « Amis des bébés » et avoir été entourée par toutes ces sage-femmes, puéricultrices, aides-maternelles. Je leur en serai toujours reconnaissante. 

En tant que femme, par chance, ma vie d’adolescente est passée entourée par des filles, dû à la formation pédagogique, métier qui s’est féminisé, le souvenir de cette sororité me font toujours chaud au coeur. Les tentes rouges sont une relève dans la transmission de la féminité.

Enfin, je sais jouer du piano, de la flute à bec, et j’ai chanté pendant 12 ans, dans différents chœurs de jeunes femmes (de chambre et de grand nombres, 120 personnes) d’excellent niveau, dont deux ans à l’Église Américaine de Paris.